HOMME – Écrivain. Je viens pour I’interview. Le journaliste m’accueille dans le studio de télévision. Il me dit : je suis I’ouvre-boîtes, vous êtes la carcasse, nous allons forcer la cave aux secrets, vous casser l’âme, et que de la cassure sorte le mystère ! Ensemble, nous dévalerons les marches de vous-même, moi devant, vigie tenant haut la torche de vérité, et derrière, les yeux des spectateurs par centaines de mille, alors préparez-vous à passer sur l’écran. Là on me pousse dans le fauteuil à maquillage car pour parler au monde, il faut être maquillé.

Je ne sentais que faiblement notre odeur (Texte Bref)

1995 Publication sous le titre "L'air du soir" dans Les cahiers de Prospero N°6

1997 Publication dans Pièces d'identité.

2000 et 2010 représentations dans la mise en scène de Bernard Laborde ( voir rubrique Pièces d'identité)

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